Fondée en 1994 à New York, Supreme est une marque de prêt-à-porter aux références skate, hip-hop et punk.
Non
- Très peu d’informations sont rendues disponibles que ce soit sur le web ou sur le site de la marque.
- Même les fiches produits du site ne renseignent pas la composition et le lieu de fabrication.
- Pas de données spécifiques à Supreme sur les émissions de GES, sur les matières employées, sur les lieux de confection, sur les audits sociaux et environnementaux…
- Pas d’informations au sujet du nombre de références proposées chaque année et du rythme des collections.
- La quantité d’informations au sujet des politiques sociales et environnementales communiquées par Supreme est quasiment nulle.
- De par le système de “drop” qui a fait son succès, Supreme participe à la surconsommation de vêtements. Tous les jeudis à une heure précise, Supreme propose des micro-capsules en quantité limitée, créant ainsi un phénomène de rareté qui incite le consommateur à se ruer sur les produits, peu importe leur caractéristiques, par peur de les manquer.
- Ce biais de rareté est aussi accentué par les articles “sold out” sur le site, plaçant le consommateur dans un état d’urgence qui le pousse à acheter les articles encore disponibles.
- Supreme joue avec notre frustration et les failles de notre cerveau pour nous rendre accro à la marque et nous faire consommer indéfiniment.
- Supreme est extrêmement opaque. Les données sont centralisées et moyennées avec les autres filiales du groupe VF Corporation, rendant presque inaccessibles les informations propres à Supreme.